Nous pensions bien naïvement qu'avec trois coups de godet l'affaire serait par terre mais que dalle c'était sans compter le dosage titanesque en ciment de l'édifice.
Le toit était par terre donc impossible de faire demi-tour quant nous avons réalisé que sans un très bon marteau piqueur pour créer un brèche on ne réussirait pas. Notre maçon nous a sauvé de la grosse galère sur ce coup là en nous en prêtant un tout joli, tout neuf! Même Benoît (sculpteur de métier) passant là par hasard n'a pas résisté à son charme et a voulu jouer avec tout l'après midi. Pour ma part j'en ai profité une paire d'heure et j'avoue que c'était bien amusant.
Ça fait juste mal partout deux jours après.
Par contre après avoir vu mon homme arracher et sectionner le câble d'alimentation en eau de la maison et deux câbles électrique, je me suis dit que la pelle mécanique ne me tentait pas.
Trop de concurrence dans le domaine de la catastrophe.
Le pauvre a eu un départ bien difficile (une fin aussi d'ailleurs!) mais en cours de journée il était presque le Sébastien Loeb de la pelleteuse.
2 commentaires:
Impressionnant. Ils font les mêmes pelleteuses pour homme ?
OH, Manu, c'est bien toi sur la pelleteuse ????? ou c'est juste de la figuration ????
En tout cas, bravo à tous pour votre courage .... il m'en faudrait un peu (du courage) moi aussi.
Grand jour pour moi ce soir (ou plutôt grande soirée). Je n'en dors pas beaucoup.
Et pour vous, bon aménagement !
Tata de Pomerols-Marseillan
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